En respectant un ensemble de considérations diverses !
Le confort d'escalier est quelque peu garanti par la règle de Blondel. G est le Giron et H la la Hauteur de marche.
Eviter de négocier l'échappée pour ne pas être réduit à accepter des arrangements difficiles...
Elles régissent l'usage des régles de H, G et 2H+G et établissent un ensemble d'obligations à respecter pour les marches, les limons, les garde-corps et leurs soubassements. Les normes traitent aussi des UP, les unités de passage.
La technologie choisie (limon central, limons-latéraux, béton armé, etc) renvoie à des choix différents dans l'établissement
des dispositifs anti-chute et donc au dessin vu en plan lui-même.
L'escaliéteur doit connaitre la nature de tous les supports, leurs épaisseurs et leurs dispositions.
Il doit aussi concevoir en fonction des conditions d'accès et de montage des éléments.
C'est un exemple classique des pièges à éviter lors de la conception d'un plan d'escalier. Il faut maitriser impeccablement
l'environnement de l'ouvrage et transmettre toutes les informations.
Le lieu (et donc l'usage) est le premier paramètre. Il conditionne les normes et règles à appliquer.
La géométrie générale impose ses méthodes qui peuvent encore varier à la demande du client.